Laurie Sadowski, St. Catherines Standard, 11 août 2010
Perhaps you can’t conceive a day without meat. The thought of forgoing that bite of beef, chunk of chicken or piece of pork is simply unimaginable. Perhaps the term « vegetarian » is just as foreign as going for a leisurely swim at Lakeside Park in the middle of February.
Unfortunately, give it some time and you could be swimming in February. The way our climate is changing, generations to come may experience environmental phenomena that we don’t dare dream about right now.
Isabelle Marcotte, Journal FORUM Santé et sécurité, Université de Montréal, 25 Mai 2010
À l’instar de pays comme les États-Unis et la France, le Québec a décidé d’appuyer la campagne Lundi sans viande en mettant officiellement sur pied à Montréal, le 19 mars dernier, une coalition québécoise formée de personnalités publiques, d’artistes et de professionnels de la santé ainsi que de nombreuses associations comme la Fondation David Suzuki et Équiterre.
It’s probably no surprise that Sir Paul McCartney, a longtime vegetarian, banned all meat from staff meals on his current world tour. But when Mario Batali starts to push people to eat their vegetables, you know something is happening.
Une journée par semaine, délaisser la viande et les produits animaux pour garnir son assiette de légumineuses, de tofu ou de noix, pourquoi pas ? C’est l’initiative que propose le mouvement Lundi sans viande. Né aux États-Unis, il compte de plus en plus d’adeptes sur la planète : en Angleterre, en Allemagne, en Belgique, en Australie, au Brésil, aux Pays-Bas et ici, au Québec. Le but de l’exercice, c’est d’améliorer notre santé et celle de l’environnement. Il y a un rapport entre les deux ? Eh oui !