Le lancement officiel de la version québécoise du Lundi sans viande a eu lieu à l’Expo manger santé et vivre vert 2010. Cette campagne vise à informer le public des répercussions de la consommation de viande sur l’environnement, la santé et l’éthique animale.
For your kids’ future, your health, the tortured animals, to lose weight, to slow climate change, to improve biodiversity, to reduce poverty … experts say these are all good reasons to cut back on your meat consumption.
Une coalition profite de l’Expo Manger santé et vivre vert, présenté cette fin de semaine au Palais des Congrès de Montréal, pour lancer la campagne «Lundi sans viande»
Les journées sans viande existent dans plusieurs pays du monde et sont pratiquées par Sir Paul McCartney, Yoko Ono, Gwyneth Paltrow, Kate Moss et bien d’autres. Il s’agit d’une campagne de sensibilisation, d’une invitation à regarder ce qui se trouve dans nos assiettes.
Aujourd’hui, c’était le lancement officiel de la campagne québécoise «Lundi sans viande» à l’Expo manger santé et vivre vert qui se tient toute la fin de semaine au Palais des congrès. C’est quoi les lundis sans viande? C’est une coalition internationale, présente dans plusieurs pays – dont la Hollande, les États-Unis, l’Angleterre et la France -, qui vise à informer et à conscientiser la population aux impacts environnementaux, éthiques et sur la santé liés à la consommation de viande. La coalition invite donc les gens à limiter leur consommation de produits carnés et ce, en commençant par ne pas manger de viande le lundi.
«180 millions d’animaux meurent chaque année pour nous nourrir. C’est plus de 20 fois la population totale de la province de Québec», a déclaré Stéphane Groleau, porte-parole des Amis de la Terre, en conférence de presse, vendredi dernier.
L’Expo manger santé, au Palais des congrès de Montréal du 19 au 21 mars, lance l’idée du « lundi sans viande » en collaboration avec l’ex-hockeyeur Georges Laraque.
Remplacer un repas de viande une fois par semaine par des mets à base de végétaux permettrait de réduire les gaz à effets de serre, soutien le Département de la santé publique de l’Université Johns Hopkins de Baltimore, aux États-Unis, qui vise à promouvoir les bienfaits de la réduction de la consommation des produits d’origine animale pour l’écologie et la santé.