Sur le site de Ricardo, la nutritionniste Hélène Laurendeau présente le lundi sans viande.
« On dit de notre travail qu’il est notre gagne-pain, mais aussi qu’il sert à gagner notre steak. Puisqu’il faut manger pour vivre, il n’est pas étonnant que le mot viande soit dérivé du mot vie. Du XIe au XVIIe siècles, le mot viande (du latin vivenda : qui entretient la vie) désignait toute nourriture ou tout aliment comestible. Le terme chair faisait alors référence à ce que nous appelons viande aujourd’hui. »
Très bonne chronique sur le lundi sans viande avec la nutritionniste Catherine Lefebvre à l’émission Tout simplement Claudine. Elle aborde les avantages pour la santé et l’environnement, en plus de présenter une recette d’humus à la courge.
L’épisode 35 de l’émission La semaine verte, diffusé à Radio-Canada le 28 mai 2011 (saison 2010) présente un reportage sur le bien-être animal. On y aborde aussi la question du Lundi sans viande.
Le mouvement québécois « Lundi sans viande » a été en nomination (parmi trois finalistes) dans la catégorie « consommation responsable » du prix Phénix de l’environnement. Ce prix constitue la plus haute distinction environnementale décernée au Québec. Le 9 juin dernier, notre mouvement était représenté par Stéphane Groleau, Anne-Marie Roy et Carl Saucier-Bouffard au Salon rouge de l’Assemblée nationale du Québec où s’est déroulée la cérémonie de remise des Phénix de l’environnement.
Même si notre mouvement n’a finalement pas remporté le prix Phénix, avoir été choisi parmi les trois finalistes de sa catégorie constitue une reconnaissance significative de la part du Gouvernement. Bravo à vous toutes et à vous tous qui avez fait de ce mouvement un des plus importants au Québec!
Ci-dessous, un enregistrement maison lors de la présentation des finalistes.
Émission Aller-Retour – Partie Retour –, Vues & Voix, 2 mai 2011
Ce talk show quotidien avec Luc Fortin reçoit des invités et chroniqueurs qui proposent des idées, des solutions et des outils pour informer, conseiller et divertir sur l’actualité, la famille, le travail, la santé et la culture. À l’émission d’aujourd’hui, M. Fortin aborde la campagne « Lundi sans viande » avec le porte-parole des Amis de la Terre à Québec M. Stéphane Groleau.
Le dernier court-métrage de Stéphane Groleau intitulé Les légumineuses nous parlent, co-réalisé avec Maryse Marcotte, est maintenant disponible pour visionnement en ligne.
« Les légumineuses nous parlent » Animation/Québec/2011/2’11 »
Les légumineuses sont une alternative à la consommation de viande et de produits issus des animaux. L’alimentation est un geste quotidien accessible à tous et qui permet de réduire rapidement et concrètement son impact négatif sur l’environnement. On peut nourrir beaucoup plus de gens en consommant directement les grains au lieu de les donner aux animaux et consommer ceux-ci par la suite. De plus, l’élevage des bovins produit beaucoup de gaz à effet de serre (méthane). Notre court-métrage se veut une invitation à la population à découvrir et intégrer les légumineuses dans leur habitude alimentaire via le Lundi sans viande.
Samedi le 23 avril à 18h, VOX diffusera une capsule de 12 minutes portant sur l’éthique animale au Québec enregistrée pour Les repères de Languirand. Au cours de cette émission, Carl Saucier-Bouffard, professeur en éthique environnementale et animale au Collège Dawson, présentera en quoi consiste l’éthique animale.
Pour ceux qui ne peuvent écouter la capsule à la télévision, vous pouvez la visionner sur Internet : http://www.repere.tv/?p=6472
» Lyon : A l’occasion du débat sur la laïcité organisée hier par l’UMP, le sénateur-maire de Lyon, Gérard Collomb, revient sur son blog à la mise en place dans les cantines lyonnaises de menu sans viandes : « A Lyon, nous servons 16000 repas par jour dans nos cantines scolaires municipales. Evidemment, nous essuyions des refus de parents que leur enfant mange de la viande, pour des motivations très diverses. La solution fut celle d’ajouter un repas complet sans viande à côté du menu proposé. Mise en place dès 2008, cette démarche a rencontré un réel succès et de nombreuses villes sont venues à Lyon pour s’en inspirer. Alors que les élèves quittaient nos cantines, nous avons constaté, – non sans difficulté ! -, qu’ils étaient revenus massivement.» »
